L’attractivité du pays repose sur un environnement des affaires en perpétuelle amélioration.
Les réformes continues ont permis :
- l’application du traitement national à tous les investisseurs (nationaux et étrangers) ;
- la réduction des délais, des coûts et les procédures de création des entreprises ;
- la réduction du capital social minimum pour les SARL (librement fixé) ;
- la création de structures d’appui au secteur privé telle que l’ABI ;
- la création des guichets uniques ;
- la création d’un Centre d’Arbitrage, de Médiation et de Conciliation de Ouagadougou et l’opérationnalisation des tribunaux de commerce etc. ;
- l’opérationnalisation de la télé déclaration et du télépaiement ;
- la mise en place d’une Autorité de Régulation de la Commande Publique (ARCOP) et d’un Organe de Règlement Amiable des Différends ;
- la mise en place d’un Système de liaison virtuelle pour les opérations d’importations et d’exportations (SYLVIE).
- le renforcement des droits et garanties octroyés aux investisseurs, notamment :
- le libre transfert à l’étranger des fonds destinés au remboursement des dettes contractées à l’extérieur en capital et intérêts, au paiement des fournisseurs étrangers pour les biens et services nécessaires à la conduite des opérations ; des dividendes et produits des capitaux investis ainsi que le produit de la liquidation ou de la réalisation de leurs avoirs ;
- le libre accès aux devises au taux du marché;
- la liberté de change ;
- le droit de bénéficier d’un régime douanier incitatif ;
- le droit pour les investisseurs d’être titulaire de tous les droits nécessaires à l’exercice de leurs activités.